Cap Ferret Thriller
...ses bienvenus et ses cauche-merdes Je me souviens souvent du temps hivernal de cette année au Cap Ferret en France. On dit que ce qui reste le plus souvent en nous ce sont le début et la fin d'un événement, d'une saison, d'histoire, du temps). La fin de mon histoire cap-ferrienne était sans aucun doute inoubliable. Je suis venue à Bordeaux-Mérignac de Genève avec Easy Jet. Mon vol du retour étant jeudi 5 janvier à midi, il me fallait quitter le Cap Ferret à 7h afin de prendre le train depuis Arcachon à Bordeaux. Puis le bus pour l'aéroport. Il ne me restait plus du temps même pour un petit café ou que se soit pour arriver à l'heure à l'aéroport. Tous les billets rétour - pour la navette transbassin Cap Ferret - Arcachon autant que pour le bus Bordeaux-Bordeaux-Mérignac - étaient achetés bien avant, le jour de mon arrivée en Aquitaine. Oui, pour faire une petite économie... Et voilà le matin du départ. Le vent assez fort souffle du coté de l'océan...